mistral, mistral ...
Que c’est difficile de se lever à 7h30 ! On avait presque oublié l’effet que ça faisait ! Mais certaines contraintes sont nécessaires à l’enrichissement de nos carrières d’explorateurs. C’est que je suis en train de vous former de futurs historiens, ornithologues et autres officiers de marine ! Quelques élèves pensent même à la carrière de … gardian.
Et oui, nous avons découvert la beauté de la Camargue, de ses berges pleines de roseaux, de ses oiseaux magnifiques (aigrette, goéland argenté, cygne, héron) de ses blancs chevaux ( qui ne deviennent totalement blancs qu’à l’âge de 5 ans – vous le saviez ?) et de ses taureaux d’ébène (qui ont les cornes à la verticale, à la différence des taureaux espagnols – vous le saviez ?)
Les explications historiques données par l’hôtesse de la péniche de plaisance étaient fort intéressantes mais pas à la portée des enfants : elles étaient emportées par le vent ! Un vent qui vient du nord (il a retrouvé notre trace!) et qu’ici on appelle mistral. Les enfants et moi avons rarement eu aussi froid, d’autant que M. météo nous avait induit en erreur. Résultat, nous avons choisi d’écourter notre journée, et après la croisière, la visite à la manade (là où les gardians élèvent les taureaux et les sélectionnent pour les fêtes votives et les corridas) le repas sur la péniche et le rally patrimoine (suivez la piste de Louis XII) nous sommes juste allés trempés nos chevilles dans la méditerranée. Mais là, la pluie nous ayant définitivement rattrapés, nous avons regagné notre domaine où, comme toujours, Alexandre nous réservait un accueil chaleureux, prévenant et sympathique. C’est un père pour nous (même pour les enseignants) il nous chouchoute et nous sommes comme des coqs en pâte, un peu transis de froid certes, mais le soleil devrait revenir ce mardi. VIVEMENT !!
NDLR : alors, Mme Veniat, on a eu deux ou trois gouttes de vent ?
Et oui, nous avons découvert la beauté de la Camargue, de ses berges pleines de roseaux, de ses oiseaux magnifiques (aigrette, goéland argenté, cygne, héron) de ses blancs chevaux ( qui ne deviennent totalement blancs qu’à l’âge de 5 ans – vous le saviez ?) et de ses taureaux d’ébène (qui ont les cornes à la verticale, à la différence des taureaux espagnols – vous le saviez ?)
Les explications historiques données par l’hôtesse de la péniche de plaisance étaient fort intéressantes mais pas à la portée des enfants : elles étaient emportées par le vent ! Un vent qui vient du nord (il a retrouvé notre trace!) et qu’ici on appelle mistral. Les enfants et moi avons rarement eu aussi froid, d’autant que M. météo nous avait induit en erreur. Résultat, nous avons choisi d’écourter notre journée, et après la croisière, la visite à la manade (là où les gardians élèvent les taureaux et les sélectionnent pour les fêtes votives et les corridas) le repas sur la péniche et le rally patrimoine (suivez la piste de Louis XII) nous sommes juste allés trempés nos chevilles dans la méditerranée. Mais là, la pluie nous ayant définitivement rattrapés, nous avons regagné notre domaine où, comme toujours, Alexandre nous réservait un accueil chaleureux, prévenant et sympathique. C’est un père pour nous (même pour les enseignants) il nous chouchoute et nous sommes comme des coqs en pâte, un peu transis de froid certes, mais le soleil devrait revenir ce mardi. VIVEMENT !!
NDLR : alors, Mme Veniat, on a eu deux ou trois gouttes de vent ?
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